Ras les burnes

Bon d'accord Freddy se maquille au fer à souder, mais c'est dans son enfance qu'il faut rechercher les causes. Tout commença un jour de punition (pour une mauvaise note en math, je crois): Sa mère le priva de nourriture, les mains attachées dans le dos. Au bout de trois jours alors qu'elle préparait des frites, cette mère indigne laissa la friteuse sans surveillance. Freddy, tenaillé par la faim, en profita pour se goinfrer de frittes, il plongea sa tête dans l'huile bouillante et les dévora jusqu'a la dernière. C'est en passant devant un miroir qu'il comprit que les frittes étaient trop cuites.

Par la suite il devint très émotif, se cachant la tête à la moindre peur, une fois dans le moule à gaufre, un autre jour dans l'appareil à fondue etc... Son adolescence devint très malheureuse, il faisait peur aux filles. Il essaya bien d'aller draguer chez les dermatos, dans les hôpitaux, organisant des surboums dans les services des grands brûlés, hantait les urgences mais rien n'y fis.

Un jour une accidentée de la route qui était passée à travers le pare-brise pour s'écraser comme une merde sous une moissonneuse batteuse eu bien un regard pour lui mais ce fut le dernier, elle mourut d'un arrêt cardiaque. C'est à moment là que naquit sa haine des femmes.

Un soir sa mère le surpris, se masturbant en regardant une pizza moisie, il fut corriger à coups de tisonnier (ses parents étant non violent, il n'y avait pas de martinet à la maison). Puis afin d'éviter qu'il ne recommence sa mère lui fit greffer d'importantes griffes à la main droite, il ne pouvait même plus se ronger les ongles ! Encore moins se gratter les couilles.

Et le cauchemar commença. C'est un agriculteur spécialisé dans la culture des navets qui eut l'idée d'en faire 342 films. Voici, enfin rétablie, toute la vérité sur l'histoire de ce pingouin griffu.

Une petite expérience valant mieux qu'un long discours, un pasteur décide
qu'une démonstration donnerait plus de poids à son sermon du dimanche.

Pour cela, il met quatre vers de terre dans quatre flacons :

- le premier ver dans un flacon d'alcool,

- le second dans un flacon plein de fumée de cigarette,

- le troisième dans un flacon de sperme,

- enfin le dernier, dans un flacon d'eau bien propre.


A la fin de son sermon, le pasteur donna les résultats de l'expérience :

Le ver dans le flacon d'alcool est mort.

Le second, dans le flacon plein de fumée de cigarette, est mort.

Le troisième, dans le flacon de sperme, est mort.

Le dernier, dans le flacon d'eau bien propre, a survécu.

Le pasteur demande à l'assemblée :
Quels enseignements pouvons-nous retirer de cette démonstration ?
...
On entend alors la voix d'une petite vieille du fond de l'église : 

- Tant qu'on boit, qu'on fume et qu'on baise, on n'aura pas de vers !!

J'ai fais un rêve étrange et merveilleux, je serai le petit roitelet d'un pays où les inspecteurs du travail serai mis en examen.

http://www.solidarite-filoche.fr/

Allez vous faire casser à sec, le partage ce n’est pas du vol.                      

Commencent à me les traire grave les guignols qui essayent d’expliquer aux jeunes que pirater un disque c’est comme voler une voiture.

Arrêter de prendre les gens pour des cons, au moins cinq minutes. Où est le rapport ? Un type qui tire une caisse elle n’appartient plus qu’a lui, son ancien propriétaire ne l’a plus, ni personne d’autre.

Le P2P c’est le contraire : tu possède quelque chose et tu le partage avec tout le monde. Tien si on reste dans le domaine de la tuturemobile le principe du Peer to peer se rapproche beaucoup plus du covoiturage que du vol. Tu mets en commun ce que tu possède.

Remarque si on suit la logique des marchands et des chasseurs de pirate du net, le covoiturage c’est du vol puisque ça fait obligatoirement perdre du fric aux pompistes, aux garagistes, aux compagnies pétrolières, aux sociétés d’autoroutes et même à l’état.

Que fait la police !  Attend ça va venir.

En parlant de vol je ne parle pas de la taxe qu’on paye sur chaque cd, dvd et tout support vierge pour le droit à la copie privé  alors que les systèmes de protection anti copie existent toujours et qu’il peut couter 3700 € d’amende si l’on force une technique de protection anti copie, même sur un dvd qui nous appartient pour un usage privé.

Bon faut bien se dire que dans toute société de profit, économie capitaliste, libérale machin, appelle ça comme tu veux, le partage quel qu’il soit sera obligatoirement une source de perte pour certain. Mais putain de bordel à queue, CE N’EST PAS DU VOL !

Tien, même si je partage mon pain avec le voisin : Nous volons le boulanger puisqu’a cause de moi mon voisin n’achètera pas de pain.

Si le partage c’est du vol, Saint François d’Assise était un mafioso.

Merde, tous sur Emule.

Il ne sera jamais mon président !

Je vais rebalancer là dedans des choses que j'ai écrites il y a plus au moins longtemps en d'autres temps, autres blog.

Certaines m'ont valu de bons moments, d'immenses éclats de rires, de grandes complicités.

Je vais surtout essayer d'être un peu utile : dénoncer, faire tourner, chier et contribuer à se débarrasser de Sarco et sa clique. Me défouler aussi.

J'ai toujours envie de rires, de délires, de causer de tout ce qui nous révoltes, nous débectes, toujours envie de parler de cul aussi.

Toujours envie d'avoir envie.

Tu m’en diras tant. Non seulement il n’écouta pas les vieux proverbes des anciens qui disaient : «　Qui part sans le guide du routard rentre en retard　». Mais ne vit pas J.Hallyday philosopher sur le Paris-Dakar : «　Si on n’était pas parti une heure trop tard on serai arrivé une heure plus tôt　». En plus y’a des nègres plein les routes, ça colle de la trippe sous les roues.

Donc Ulysse s’enfila dans un cheval pour pénétrer les Troyens. Je raconte pas le merdier qui s’en suivi, suffit d’ouvrir n’importe quel journal c’est toujours un peu près pareil.

Puis il s’en alla, voguant le mat au vent vers de torrides gangs bangs chez les sirènes et autres fiiss fucking au pays des cyclopes.

Pendant ce temps là, la douce et romantique pénélope attendait patiemment le retour de son découpeur d’andouillettes, trainant ses insomnies devant l’océan.

«　Putain de bordel de merde, j’ai encore le bonbon qui colle au papier　» murmure t’elle souvent, «　ô Eole fais quelque chose même quand la mer est basse j’ai le galet à marée haute　».

C’est donc en parfaite ménagère qu’elle se mit à la couture, enfin c’est surtout parce qu’elle s’attendait à recevoir la giclée de sa vie au retour d’Ulysse qu’elle confectionna de quoi s’essuyer et protéger les meubles.

Elle s’essaya aussi à l’écriture et un jour accrocha ce long et douloureux poème à la patte d’un goéland voyageur :

Mais Ulysse qui n’avait pas inventé le fil à couper la vaseline était resté coincé dans l’œil d’un cyclope.

Quand il rentra enfin à la maison, queue basse et burnes trainantes, il sentait plus le fahrenheit que la marée.

-Bonjour chérie, qu’est-ce qu’on mange ce soir ? Dit il avant d’allumer la télé et de s’endormir sur le canapé pendant que Pénélope le visage inondé de larmes et le cul asséché pour toujours préparait la bouffe dans la cuisine.

Puis elle s’éteignit peu à peu écrasée par ses rêves mutilés comme un feu qui s’étouffe sous sa propre cendre.

C’est massacrée par la vieillesse qu’elle essaya d’écrire cette lettre à sa maman, elle n’eu jamais la force de terminer :